Tynambule

(Le E étrange, c’est ɛ)

Je viens de me rendre compte, suite à une petite conversation avec mon collocataire et néanmoins ami, que depuis le début, je montrais mon ignorance à quiconque ne voulait pas forcément la connaître dès que je prononcais le mot « octet ». Pour moi, un octet (que je disais parfois *une* octet, mais bref), ça se disait comme « quintet ». Avec un « ète » à la fin.

C’était une erreur.

Lire la suite…

Une BOM, ou Byte-Order Mark, c’est le code de caractères U+FEFF au début d’un flux de données, genre un fichier. BOM, c’est un instrument de torture de l’Unicode. Il est sensé permettre d’établir simplement en regardant les premiers bits d’un flux quel est l’encodage de ce flux. Il existe basiquement autant de BOM que de spécifications différentes de l’Unicode, c’est à dire quelques tetrachiées.

Et les BOM sont viles…

Lire la suite…

Aah, l’encodage… Depuis que j’ai appris que tout n’était pas en ISO-8859-1, j’ai l’impression que tous les caractères des douzes coins du monde luttent contre ma pauvre et innocente personne. Et même la (louable) tentative de l’Unicode de passer un bon coup de balais dans tout ce bordel ne m’a à vrai dire pas réellement facilité la tâche.

Mais le pire… C’est Microsoft.

Lire la suite…

1-first-post.

Le point de départ de toutes les opinions dotCleariennes, le big-bang de la communication virtuelle et de la transmission de mots aux travers des octets de la toile, mots d’esprits, mots d’amour, mots de circonstance, souvent mots pour rien et rarement mots écouté, telle est l’essence d’un blog.

Pour moi, jusqu’ il n’y a pas si longtemps, un BLOG c’était un champ de donnée binaire de taille variable dans une base de donnée. Hum… A bien y réflechir… Pas si longtemps, c’est tout de même quelques années.

Il est étonnant de constater quel point le phénomène des blogs a explosé, si vite et si fort. De plus en plus de journaux citent des blogs officiels en référence, de plus en plus de célébrités ouvrent leur journal intime public, de plus en plus de gens trouvent des chose dire qui veut l’entendre, travers cet outils simple et efficace. C’est se demander comment faisaient les gens d’avant, sans cette merveille technologique. Ah. On me souffle que le principe du blog viens des webzines. Qui viennent des fanzines. Qui viennent du besoin intrinséque au genre humain d’exprimer ses idées et convictions. Bon, soit.

Quoi qu’il en soit, le nombre effrayant et sans cesse croissant de goutte dans l’océan de la parole binaire viens de gagner une unité; j’essayerai – sans m’y tenir certainement – de tenir ici un carnet de route de mes pérégrinations professionnelles et programmatives, voir même de mes élucubrations méta-psycho- -côté-de-la-plaque, comme ce magnifique début!

Je j’aurai pas la vanité de vous remercier de me lire, puisqu’il y a fort parier que je sois mon unique lecteur. Tant mieux. Au moins, on ne verra pas les fautes d’orthographe.